BDS Boycott Désinvestissement Sanctions.
La cause palestinienne est devenue depuis bien des années le prête-nom et l’exutoire de passions douteuses en quête de respectabilité. La campagne pour le boycott d’Israël, appelée BDS – boycott, désinvestissement, sanctions -, incarne le dernier avatar de cette prétendue solidarité avec un peuple dont, par ailleurs, les faux amis n’ont jamais défendu les vrais héros : ces Palestiniens patriotes et démocrates, cibles de l’intégrisme, désormais condamnés au silence, comme le philosophe Sari Nusseibeh.
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L’ancien président Shimon Peres, Nobel de la paix 1994, le rappelait douloureusement il y a quelque temps : « La focalisation sur Israël, alors qu’il y a tant de zones de conflits ultraviolents dans le monde, est un révélateur des intentions des promoteurs du boycott. Ses animateurs ne sont ni neutres, ni objectifs et ils ne connaissent pas les faits. »
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Pour cette raison, la campagne BDS est interdite en France, où elle jetait de l’huile sur le feu des violences antisémites. Il faut s’interroger pourtant sur son succès auprès des opinions publiques occidentales, sur sa capacité d’influencer les organisations internationales. Le boycott d’Israël est le lieu où se hurlent les non-dits.
Source : https://www.marianne.net/debattons/editos/ce-que-cache-le-boycott-disrael
Juste pour le fun, ici ont voit une « avocate internationale » de BDS Simone O’Broin complètement bourrée dans un avion indien à tenir des propos raciste envers le personnel et en hurlant qu’elle est avocate du putain de peuple palestinien et autre joyeusetés…